Bonsoir,
Merci à vous deux pour votre réponse.
J'ai déjà essayé d'investiguer du côté des CECOS de Paris et de Grenoble, et effectivement ce que l'on me dit c'est que cette technique par voie abdominale existe mais qu'elle comporte des risques hémorragiques entre autres qui les font refuser de pratiquer cette voie s'il n'y a pas une raison extrêmement spécifique avec un motif de santé biologique obligeant à ça.
Je ne sais pas si on m'a dot toute la vérité au sujet de ce risque hémorragique, mais j'ai cru comprendre qu'il y avait un risque de perforation de l'intestin, que les ovaires étaient bien moins facilement accessibles par cette voie, et qu'il fallait traverser le péritoine alors qu'en passant par la voie vaginale, il n'y avait pas tous ces inconvénients.
Finalement je me suis un peu "résigné" disons, même si je n'aime pas ce terme ahah, à le faire en passant par la voie interne, car j'ai vraiment besoin d'avancer dans le parcours sans attendre encore.
De plus, psychologiquement, pour mieux supporter l'acte, je me dis que je vais enchaîner avec l'hysté et que pour le coup, les médecins seront bien obligés de passer par cette voie là pour m'opérer, donc dans ma tête ça va faire d'une pierre deux coups
Pour info : l'anesthésie générale est bien possible effectivement, et je précise qu'on s'endort en position classique (allongée) et qu'on se réveille dans la même position classique. C'est-à -dire qu'à aucun moment on ne se voit soi-même installé en position gynécologique (ce qui serait très perturbant pour ma part).
PS : Bien que je décide de faire cette opération par voie interne, je suis curieux de savoir si elle peut être pratiquée autrement à l'avenir, et donc d'avoir des retours si jamais l'un d'entre vous avaient plus d'infos sur un passage par voie externe.
Merci et à très bientôt
